Je m’appelle Kelly, et je suis journaliste spécialisée dans la musique rock, punk, metal et autres genres affiliés.
Après être passée par divers médias web et en presse écrite, je travaille actuellement pour le groupe Komakino Publishing, au sein du magazine MYROCK principalement.
Il m’arrive également de donner des conférences ou interventions sur les sujets dans lesquels je suis spécialisée.

Ci-dessus : Photo prise lors d’une interview avec Stone Sour, 2017 (Nicko Guihal © Tous droits réservés).
Pour toute demande, n’hésitez pas à me contacter.
Ethique et objectifs
Mon objectif principal, en tant que journaliste spécialisée dans la musique, est de comprendre la volonté des artistes. Les questionner sur leurs projets, leurs passions, leurs inspirations, et leurs valeurs. J’espère aussi permettre des artistes émergents de s’exprimer et de se faire connaître, chose qui n’est pas toujours facile dans cette industrie.
Je pense sincèrement que la musique, comme tous les autres arts, est vecteur d’un discours sur notre société. C’est pourquoi il est important pour moi de mettre en avant des artistes qui se battent pour plus de justice, de liberté, et d’égalité. De donner la parole à des personnes engagées et/ou faisant partie d’une minorité sous-représentée. Et d’avertir sur les travers que peut parfois connaître l’industrie musicale.

Un ancien projet : Tangerine (YouTube)
De 2019 à 2022, j’ai fait partie de la chaîne YouTube Tangerine, que j’ai co-fondée. J’y ai abordé, seule ou en duo, bon nombre de sujets autour du rock et de l’industrie musicale.

Tangerine a été nommée aux Social Music Awards 2021 dans la catégorie « Web channel de l’année ».
Retrouvez l’ensemble des vidéos Tangerine écrites et/ou réalisées par mes soins dans cette playlist !
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Crédits
Sauf mention contraire, les photos, textes et autres médias présents sur ce site sont la propriété de Kelly Le Guen. Il en va de même pour tout contenu créé et diffusé sur d’autres plateformes ou réseaux sociaux. Ces contenus ne peuvent en aucun cas être ré-utilisés sans autorisation préalable (pour cela, me contacter).
Photo d’en-tête : Manon Violence © Tous droits réservés.